MINVIE

JOB OPPORTUNITY!

Oui, vous avez l'opportunité de fleurir les parvis de l'Eternel! Etrange boulot, me direz-vous; et je confirme que j'aurais dis comme vous, avant cette nuit de prière bénie du 4 mars 2011. Alors que nous atteignions le moment de la prière où le Saint-Esprit prend le contrôle de nos langues pour adresser à Dieu des paroles d'adoration, moment où nous oublions nos requêtes et nos demandes pour ne plus voir que la gloire, la bonté et la grâce de Dieu, je vis cette merveilleuse vision : un immense champ de fleurs s'étendait à perte de vue; elles apparaissaient tantôt de telle espèce et tantôt de telle autre, de couleur variée, dans une grande diversité; et avant que chaque espèce ne cède la place à la suivante, un léger vent subtil soufflait, et les fleurs semblaient danser dans une harmonie céleste; c'était tout simplement très beau; pendant que j'admirais ce décor, j'entendis ces paroles: "Vous êtes venues* fleurir mes parvis" et de me demander comment ?

L'explication vint de suite : les fleurs exhalent un parfum, et chaque fleur un parfum particulier ; et l'Apocalypse nous révèle que les prières des saints sont des parfums ; si donc nous nous sanctifions, et si nous prions, ce sont des parfums que nous répandons sur les parvis de l'Éternel. Puisque nous sommes appelés à prier sans cesse, étant sanctifiés, nos prières incessantes seraient des fleurs dont le parfum emplirait les parvis de notre Dieu.

Allez, devenons des fleuristes d'une autre ère,  fleurissons les parvis de l'Éternel ;Jésus-Christ est le premier, comme en toute bonne chose. Souvenons-nous qu'à l'instant même, il prie pour l'humanité, et comme il nous l'a demandé, soyons ses imitateurs.

Lisons Apocalypse 5. Le verset 8 dit : "Quand il eut pris le livre, les quatre êtres vivants et les vingt-quatre vieillards se prosternèrent devant l'agneau, tenant chacun une harpe et des coupes d'or, remplies de parfums, qui sont les prières des saints."

Lisons I Thessaloniciens 5. Le verset 17 dit : "Priez sans cesse."

Soyez bénis!

Pasteur Catherine Sombé

* Nous étions trois dames.