MINVIE

MINVIE

LA VOLONTÉ DE DIEU C'EST VOTRE GUÉRISON

21-22 juin 2008

 

SÉMINAIRE DE GUÉRISON

Oratrice : Rév. Pasteur Sombé Catherine

 

 

THEME : LA VOLONTE DE DIEU C'EST VOTRE GUÉRISON

 

Le Ministère de la Vocation Irrésistible d'Évangélisation vous convie à passer des moments merveilleux autour de Jésus-Christ, celui qui guérit.

 

C'est la volonté parfaite de Dieu et de Jésus-Christ que les hommes soient guéris par la puissance des meurtrissures du Christ. Ce témoignage s'étale tout au long des saintes écritures :

 

L'Éternel a envoyé Jésus pour « guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la liberté, et aux prisonniers la délivrance » Esaie 61 : 1-3

Jésus dit au centenier dont le serviteur était malade : « J'irai, et je le guérirai » Matthieu 8 : 7

Au monsieur qui se demandait si Jésus pouvait guérir son fils possédé d'un esprit muet, Jésus dit : « Si tu peux le croire, tout est possible à celui qui croit. » Marc 9 : 23

De ses disciples Jésus dit « En mon nom, …ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Marc 16 : 17-18.

Aucune maladie ne résiste à Jésus : « Il chassa les esprits par sa parole, et il guérit tous les malades » Matthieu 8 : 16

 

Votre guérison est possible, si vous croyez.  Venez nombreux, munis de la monnaie du ciel : votre foi en Jésus-Christ.

 

TEXTE : Marc 8 : 22-26  Guérison d'un aveugle à Betsaïda

 

Verset 22 : On amène vers Jésus un aveugle qu'on le prie de toucher.

 

Afin de recevoir une guérison de Jésus, il y a  quatre des étapes à observer :

 

Première étape : Quelqu'un amène la malade à Jésus-Christ.

Dans a plupart des cas de guérisons, quelqu'un a amené le malade vers le Seigneur. C'est le rôle des membres de famille, et  de la communauté ; ils démontrent ainsi leur propre foi en Jésus-Christ ; ils prouvent qu'ils ont compris que rien n'est impossible à Dieu, et qu'ils conduisent ces malades vers le même Jésus-Christ qui a guéri l'aveugle de Betsaïda. Le prédicateur croit exactement la même chose, car il ne fera rien de lui même ;  il fera toute chose au NOM DE JÉSUS-CHRIST. (Marc 16 : 15-18) Un séminaire de guérison est donc non la promotion d'une assemblée ou d'un prédicateur, mais la celle de puissance qui est dans l'Évangile que nous prêchons.

 

Verset 23 : Jésus prend le malade par la main et le conduit hors du village.

 

Deuxième étape : Jésus prend le malade en charge.

En fonction de la situation du malade, Jésus a une façon de s'occuper de lui. Ici, il a en face de lui, un aveugle, quelqu'un qui n'a rien vu depuis sa naissance. Jésus lui témoigne premièrement de l'affection : prendre quelqu'un par la main, c'est un signe d'amour, de protection, c'est une façon de rassurer l'autre. Ensuite, Jésus le conduit : cet homme, du fait de sa cécité, a toujours été conduit par une tierce personne ; mais ce jour, c'est Emmanuel, Dieu parmi le hommes qui le conduit ; quelle grâce ! En vue d'obtenir notre guérison, nous devons accepter d'être conduit par Jésus-christ ; le code pour cette conduite ? c'est l'Évangile. Et où le mène-t-il ? dans un lieu inhabituel : hors du village. Le village représente le cadre de vie habituel de cet homme aveugle ; là où toute l'oppression liée à sa condition d'aveugle a été exercée sur lui ; et Jésus l'éloigne de ce lieu, comme pour lui dire ; on ne te nommera plus handicapé, aveugle ; (Esaïe 62) ; je vais changer ton nom ; et pour cela, il faut que je te conduise loin du lieu où tu as toujours évolué, où tu as porté le même nom : aveugle, sourd, muet, fou, stérile, diabétique, sidéen, cancéreux, alzheimer … Les conditions dans lesquelles nous évoluons déterminent notre niveau sur tous les plans, et entretiennent notre état.

Jésus, pour bien accomplir l'œuvre de restauration par la guérison commence donc par isoler le malade.  En ceci, la médecine moderne copie sur le plus grand des médecins.

Quel est ton « village » ? Jésus veut te sortir de là, afin de t'administrer ses soins.

 

Troisième étape : Jésus soigne le malade.

 

Verset 23 : Il lui mit de la salive sur les yeux et lui imposa les mains.

La salive (liquide produit par les glandes salivaires dans la bouche) est employée dans le but de guérir dans le judaïsme, en particulier dans la littérature rabbinique, pour les maladies oculaires. Lorsque Jésus utilise sa salive lors de certaines guérisons, c'est dans le but d'expliquer au malade ce qui va se passer, afin qu'il le perçoive dans le schéma de la foi selon le judaïsme. Exemples : le sourd-muet : Marc 7 : 33 ; l'aveugle : Jean 9 : 6. 

Après l'application de la salive qui rappelle le judaïsme, Jésus impose les mains à l'aveugle ; ici, il utilise la méthode qu'il va laisser à ses disciples dans Marc 16 : 18 : « … Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris. »

 

L'interaction entre Jésus et le malade, ou la participation, la coopération du malade.

            Jésus demande à l'aveugle s'il voit quelque chose. Le malade doit sincèrement répondre aux questions qui lui sont posées ; cela permet à celui qui lui rend ministère des savoir la prochaine action à accomplir.

Verset 24 : J'aperçois des hommes, mais j'en vois comme des arbres, et qui marchent.

Sur le coup, la guérison de l'homme n'est pas parfaite ; il peut voir des hommes, mais, comme des arbres. C'est la précision dans la déclaration de cet homme qui va entraîner sa guérison parfaite. Quelques fois, les malades qui viennent pour des séances de guérison sont hypocrites, cachent leur état, ou donnent des réponses complaisantes . Il faut éviter tout cela et dire LA VÉRITE. Si cet homme avait répondu que tout allait bien, qu'il voyait déjà ; cette prière se serait arrêtée là ; mais il aurait eu une vision approximative, bancale. C'est lorsqu'il décrivit exactement comment il voyait, que Jésus fit une nouvelle imposition des mains.

 

Verset 25 : Jésus lui mit de nouveau les mains sur les yeux ; et, quand l'aveugle regarda fixement, il fut guéri, et vit tout distinctement.

 

Remarque : L'imposition des mains peut se faire sur l'organe malade plus d'une fois, jusqu'à ce que la guérison s'en suive. Une guérison approximative n'est pas la guérison que Dieu veut pour nous ;  lui qui fait tout à merveille, veut nous accorde une totale guérison, et nous établir ensuite dans la santé divine. Bien qu'il a déclaré voir des hommes comme des arbres, cet homme est toujours appelé l'aveugle, jusqu'à ce qu'il voit tout distinctement. L'aveugle regarda fixement ; c'est encore une preuve de la coopération de cet homme pour sa guérison ; il y croyait et participait activement au processus de sa guérison. La guérison fut totale.

Certains malades manquent d'intérêt pour leur propre guérison ; ils se comportent comme s'ils venaient faire plaisir à ceux qui les ont amené à Jésus. Cela représente une grande barrière pour leur guérison. Aidons donc nos protégés en leur faisant savoir qu'ils doivent croire que tout est possible à celui qui croit, comme Jésus dit au père de l'enfant possédé par un esprit muet : «  Si tu peux le croire, tout est possible à celui qui croit. » Marc 9 : 23.

 

 

Quatrième étape : Jésus renvoie le malade et lui fait une ordonnance

 

Après un séjour à l'hôpital, le médecin nous fait une prescription médicale que nous devons suivre une fois rentré chez nous. Le grand médecin Jésus-Christ l'a fait avec l'ex-aveugle.

1) L'ex-aveugle devait rentrer chez lui, dans sa maison, (symbole de la vie intérieure, lieu où le Seigneur vient habiter, notre cœur.)

2) Il ne devait pas entrer au village , lieu de l'oppression, symbole de la vie passée, dans l'ignorance totale de la vie et la volonté de Dieu.

3) Il ne devait rien dire à personne du village ; en clair, il devait couper tout contact avec cet environnement.

Il y a des personnes, des choses, des habitudes, que nous devons abandonner pour conserver la guérison que Jésus-Christ nous accorde.

 

L'offrande que Moïse a prescrite

 

En Matthieu 8 : 1- 4,   Jésus guéri un lépreux et lui fait cette recommandation : « Garde-toi d'en parler à personne, mais va te montrer au sacrificateur, et présente l'offrande que Moïse a prescrite, afin que cela leur serve de témoignage ». C'est ici l'accomplissement de cette parole de Jésus : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir mais pour accomplir. Car je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. »

 

Quelle est donc l'offrande que Moïse a prescrite ?

 

Elle est décrite dans Lévitique 14 : 1, 10-13 pour sa purification, le lépreux devait offrir : 2 agneaux sans défaut, 1 brebis d'un an sans défaut, 3/10è d'un épha de fleur de farine en offrande pétrie à l'huile, un log d'huile. Moïse explique que, dans le cas d'un sacrifice de culpabilité comme dans le cas d'un sacrifice d'expiation, la victime est pour le sacrificateur et

C'est une chose très sainte.

La loi a prévu le cas d'un malade pauvre, aux ressources insuffisantes : Lévitique 14 : 21-22

S'il est pauvre, il offrira : Un seul agneau, 1/10è de fleur de farine pétrie à l'huile ; un log d'huile, deux tourterelles ou deux pigeons. Puisque le sang de Jésus a été versé en remplacement de celui des animaux, le Seigneur nous invite à offrir à offrir à Dieu un sacrifice de louange, la bienfaisance et la libéralité, selon Hébreux 13 : 15-16, car ce sont là les sacrifices auxquels Dieu prend plaisir. Cette précision est importante pour corriger les conséquences de certaines pensées répandues et mal comprises et mal comprises parmi les chrétiens : Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement…, Dieu n'a besoin de rien…, certes cela est strictement vrai pour le créateur ; c'est pourquoi il est clairement spécifié que ce sacrifice est pour le sacrificateur, et qu'il est une chose très sainte. Ceux qui ont compris ce principe sont revenus vers Jésus pour lui présenter des libéralités :

Luc 8 : 1-3 : Les femmes qui avaient été guéries d'esprits malins et de maladies assistaient Jésus de leurs biens.

C'est faute d'enseigner le plein Evangile et de s'arrêter sur ces aspects pourtant bien écrits dans la Bible que l'on pense que les pasteurs doivent parallèlement travailler. Jésus, notre modèle a été charpentier avec Joseph son père pendant un temps ; mais quand il a fallu s'occuper de son ministère, il a dû s'y consacrer entièrement.

 

Lorsque la femme pécheresse vient rencontrer Jésus Chez Simon, Luc 7 : 36-48, elle apporte un vase d'albâtre plein d'un parfum de grand prix, ses larmes, ses cheveux. Elle offre premièrement tout cela à Jésus ; c'est à la fin de son service que Jésus lui dit : « Tes péchés sont pardonnés ». Tes libéralités peuvent précéder ta délivrance.

 

Le témoignage : le fruit de lèvres qui louent Son Nom.

 

Luc 8 : 38 : À l'homme de qui il avait chassé la légion de démons, Jésus dit : « Retourne dans ta maison et raconte tout ce que Dieu t'a fait. Il s'en alla, et publia par toute la ville tout ce que Jésus avait fait pour lui. » Le témoignage de cet homme a certainement été salutaire pour ceux qui l'ont reçu. Quand tu seras guéris, témoigneras-tu afin que d'autres personnes viennent à Jésus pour leur délivrance ?   le Seigneur t'en saura gré.

 

 

Guérison des maladies morales et affectives.

 

 

            Au-delà des maladies physiques, l'homme souffre de plusieurs autres maux qui trouvent également remède dans la parole de Dieu :

 

Esaïe 61 : 1-3 Jésus est venu guérir ceux qui ont le cœur brisé. Un cœur brisé est un cœur dans lequel il y a du chagrin, émanant d'une relation ou d'une situation qui a mal tourné. Celui qui a un cœur brisé est fragilisé ; il passe sans transition de la joie à la tristesse, dès qu'il pense à son chagrin. Cet état génère la haine, le ressentiment. Plusieurs personnes sont captives de la haine qui a découlé de ce brisement de cœur. Elles ont alors coupé tout contact avec certains membres de leur famille ou de leur cercle d'amis. C'est une position très dangereuse du fait que le cœur ainsi souillé par la haine ne peut recevoir la bénédiction de Dieu. Pour retrouver une relation saine avec l'Eternel par Jésus-Christ, ces personnes doivent demander pardon à Dieu pour cet état, l'abandonner, et s'engager à rétablir la relation entre elles-mêmes et ceux à qui elles ne parlaient plus. Le pardon est une puissance qui libère. Celui qui pardonne se libère et libère quiconque était captif en son cœur. Un cœur fermé ne peut accueillir le Saint-Esprit celui qui veut donc se repentir doit prier le Seigneur comme le roi David : « Ô Dieu, créé en moi un cœur pur ; renouvelle en moi un esprit bien disposé » Psaume 51 : 12 ; ainsi renouvelée, cette personne s'appliquera à observer  l'ordonnance du Seigneur selon laquelle chacun doit prendre soin des membres de sa famille, comme l'apôtre Paul le recommande à Timothée : « Si quelqu'un n'a pas soin des siens, et principalement de ceux de sa famille, il a renié la foi,  et il est pire qu'un infidèle. » I Timothée 5 : 8. Renier les membres de sa famille est une manifestation du cœur brisé que Jésus est venu guérir.

 

Puisque Jésus est venu proclamer aux captifs la liberté, il y a un ministère de libération qu'Il rend aux hommes.

 

1) Le rejet : Dieu déclare qu'il guéri les personnes abandonnées par ceux qui les aimaient : Jérémie 30 : 12-17

 

2) La stérilité : Jérémie 31 : 27  Dieu promet d'ensemencer votre maison d'une semence d'hommes et de bêtes.

2 Rois 4 : 13-17 : A la Sunamite qui l'a hébergé, Elisée dit : « A cette même époque, l'année prochaine, tu embrasseras un fils »

Esaïe 49 : 18-23 : « Ils répèteront à tes oreilles, ces fils dont tu fus privée : L'espace est trop étroit pour moi ; fais-moi de la place, pour que je puisse m'établir. Et tu diras en ton cœur : Qui me les as engendrés ? Car j'étais sans enfants, j'étais stérile , j'étais exilée, répudiée : qui les a les élevés ? j'étais seule : ceux-ci, où étaient- ils ? »

 

3)  Le poids des dettes :  2 Rois 4 : 1-7 : «  va  vendre l'huile et paie ta dette ; et tu vivras, toi et tes fils, de ce qui restera ». Si vous ployez sous le poids des dettes, présentez-vous à Dieu comme cette femme l'a fait auprès d'Élisée ; il vous donnera une stratégie. Observez là, votre problème sera résolu.

 

4) Le pays malade : 2 Chroniques 7 : 13-14 : « Quand je fermerai le ciel et qu'il n'y aura point de pluie, quand j'ordonnerai aux sauterelles de consumer le pays, quand j'enverrai la peste parmi mon peuple, si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s'humilie, prie et cherche ma face, et s'il se détourne de ses mauvaises voies,  je l'exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché , et je guérirai son pays. »

 

  Toute guérison nécessaire est disponible ; de laquelle avez-vous besoin ? recevez-la de Dieu, par la méthode indiquée à chaque fois,  et soyez richement bénis, comme vous vous établirez dans la santé divine.

 

 

TEMOIGNAGES

 

 

1)      Mme Charléus (entre 60 et 65 ans)  amenée péniblement au programme, a marché, chanté et dansé pendant l'adoration, car elle a été guérie de cette infirmité à cause de laquelle elle a utilisé des béquilles pendant 9 ans. Le frère Nicolas tenait ses béquilles désormais inutiles. Gloire à Dieu.

2)      Sylvie a été guérie du fait de casser sa vaisselle chaque fois qu'elle était contrariée.

3)      Constant  a été guéri d'un mal au niveau du dos, dont il souffrait depuis deux ans.

4)      La foi de chacun des membres de l'assemblée a été fortifiée par la guérison de Mme Charléus- C'était un miracle.

5)      Sept personnes ont reçu Jésus comme leur Seigneur et sauveur ce 21 juin 2008 ; parmi lesquelles Bertille qui sera baptisée le 27 juillet 2008 avec six frères et sœurs qui attendaient ce premier service de baptême du MINVIE –Eglise de France.

 

Que toute la gloire soit à l'Eternel ./.



01/08/2009
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 6 autres membres